Composer avec la distraction dans les bureaux d’aujourd’hui

31/05/2018

Author: Staples Professional Inc.

Quand il s’agit de garder de bonnes relations avec ses collègues, il y a des choses qu’on aime mieux ne pas savoir. Malheureusement, plus de neuf employés de bureau sur dix ont déjà entendu les conversations personnelles et les appels téléphoniques de leurs collègues, et 71 % d’entre eux ont déjà vu des collègues consulter des sites Web qu’ils ne devraient pas visiter, selon le sondage aux employés sur leur milieu de travail réalisé par Staples Avantage Affaires.

Ces distractions sont symptomatiques des bureaux à aire ouverte d’aujourd’hui, où il semble que les travailleurs obtiennent le meilleur et le pire les uns des autres. D’un côté, la plupart des gens trouvent ces environnements stimulants et adaptés à la collaboration. De l’autre, la distraction est un problème répandu – un taux surprenant 81 % des répondants affirme travailler dans une zone achalandée.

Les employés font face à la situation de différentes manières. En effet, 45 % d’entre eux sont sorti à l’extérieur du bureau pour prendre ou effectuer un appel téléphonique et 28 % ont porté un casque d’écoute dans le but de bloquer le bruit des autres. Un grand nombre choisi d’abandonner totalement le bureau : 57 % de ceux qui travaillent à l’extérieur du bureau affirment qu’ils le font parfois parce que cela élimine les distractions du bureau.

Fait intéressant, les employés ne jettent pas le blâme uniquement sur l’environnement physique. Moins d’un quart des répondants a mis « espace privé ou personnel » dans les trois premières réponses de sa liste de souhaits, ce qui le place au même niveau que « nouvelle technologie ou nouvel équipement », « meubles ergonomiques », « centre de conditionnement physique » et « options de nourriture et de boisson ».

De plus, certaines des distractions les plus fréquemment signalées découlent de comportements douteux des collègues, comme avoir à travailler près de quelqu’un qui est visiblement ou distinctement malade (81 %), qui mange quelque chose qui sent mauvais (77 %), ou qui fait jouer une radio ou un téléviseur avec le volume élevé (69 %).

Bien que changer l’environnement physique ne saurait remplacer la conduite respectueuse au bureau, les planificateurs doivent prendre en compte les façons dont l’optimisation de l’espace de bureau peut aider. Est-ce que les appels personnels seraient effectués à portée de voix des autres s’il y avait un cubicule privé réservé pour le téléphone? Est-ce que les gens mangent à leur bureau parce que la salle de repas est inadéquate? Prendre une pause dans une salle de bien-être soulagerait-il le stress d’un environnement achalandé?

À mesure que le bureau évolue pour répondre aux besoins diversifiés d’aujourd’hui, c’est le type de questions que les planificateurs de bureau doivent poser.

Pour télécharger le rapport complet du sondage sur le milieu de travail 2018 :

https://www.staplesprofessional.ca/workplace-employee-survey/

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